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SUPPORTS A LA MEDITATION

Publié le Mis à jour le

Dakini

BOUTIQUE D’ARTICLES DU TIBET, DE L’INDE ET DU NEPAL

 

SUPPORTS A LA MEDITATION

Le Mandala :

En tibétain, mandala se dit « kyil-khor », ce qui veut dire à peu près centre-périphérie.

Diagramme cosmique destiné à permettre à son auteur ou à ceux qui le regardent avec concentration, de réintégrer leur nature propre au sein de l’univers. Peint sur une toile ou composé de sable coloré, le mandala constitue parfois aussi un motif architectural.
Au départ de la méditation, le mandala est un objectif qui guide le méditant.

Les mandalas sont des reproductions spirituelles de l’ordre du monde et  on les associe souvent dans ce sens  aux quatre points cardinaux.

Objet de méditation en général sous forme de cercle mystique. Le mandala est un diagramme rituel, le centre du mandala contient différents symboles.

Un idéogramme, une fleur de lotus, bouddhas, des divinités.

C’est le centre du mandala qui attire le regard,   il symbolise, dans un espace restreint,  le long et difficile chemin de l’initiation.
Le labyrinthe représente le voyage psychique et spirituel  que l’homme doit accomplir à l’intérieur de lui-même, Il faut donc identifier ce lien qui nous rattache à telle ou telle déité, afin de trouver son propre centre, qui est souvent vide,  à travers les épreuves et tous les motifs d’égarement, pour pouvoir enfin découvrir l’image de son Soi.

La « Roue du temps » est sans doute le mandala Tibétain le plus connus.

Le Tibet a toujours donné une place à part au pouvoir de l’oeil et à la visualisation. Si la tradition tibétaine accorde une place à part à cette « roue du temps », c’est justement parce qu’elle prend tout en compte et met l’accent sur les correspondances reliant l’être humain au monde extérieur.

Cinq mandalas, en un, ou supports d’instruction et de méditation:
1- le mandala du corps,
2- le mandala de la parole,
3- le mandala de l’esprit,
4- le mandala de la « conscience primordiale »
5- enfin au centre, avec son lotus, le mandala de la « félicité suprême ».

Les Mala Tibétains :

  Chapelets Bouddhistes composés de 108 grains renforcent le lien direct entre les doigts et le cerveau.

Le fait de le porter peut donc légitimement être considéré comme protection.

Utilisés comme rosaires ou chapelets, les malas représentent dans la culture bouddhiste le temps et le cycle de la renaissance. Il sont également donnés en offrande aux bouddhas. …Les « Mala » existent dans toute une gamme de matières et tailles en fonction des pratiques envisagées, bois, pierres semi-précieuses, os, corne, terre cuite…

 La clochette « Dril-bu »et le sceptre « Dorjé »

La clochette « Dril-bu »
et le sceptre « Dorjé »

sont deux instruments pour les rituels sacrés.
La Dril-bu symbole Yin/féminin
Le Dorjé : Yang/masculin, “foudre-diamant”.
Objet rituel, représentant symboliquement un noyau central flanqué d‘une fleur de lotus d‘où jaillissent deux groupes de flammes. Symbole masculin du chemin qui mène à l‘illumination.

Cymbales tibétaines ou Majhira 

Instrument en bronze
à base d’alliage secret de métaux donnant une sonorité riche en harmoniques et ondes résonantes

 

Les Thangkas (ou Tanka) Tibétaines

 

Littéralement en Tibétain, “chose qu’on roule”, sont des peintures sur tissus, représentent habituellement des thèmes Bouddhistes (Déités, grands Maîtres, Mandalas), mais aussi des scènes plus profanes, voire des chartes de médecines et autres.

Il existe différentes techniques, par peinture (polychrome ou dorée sur fond noir entre autre), par applique de tissus (patchwork), par tissage, et même par simple impression.

En plus de leur coté “spirituel”, les Thangkas, par l’usage de couleurs vives et leur finesse de détails sont de véritables oeuvres d’art.

En contemplant les personnages dépeints, en se concentrant dessus et en s’identifiant à la divinité ou au personnage central, le croyant cherche à atteindre la libération par la vision

Une Thangka n’est pas une simple pièce d’art asiatique que l’on met au salon pour épater les amis, elle doit être traitée avec respect (surtout celles aillant été consacrées!), dans ce cas elle peut rayonner d’une «énergie bénéfique pour les habitants de la maison ou elle se trouve et y diffuser la Bénédiction des Déités.

Une mission leur est également attribuée lorsque surgissent des problèmes au sein

d’une famille: la maladie, la mort ou encore des obstacles plus abstraits comme des ambiances générées par le climat social. La thangka est alors pendue, dans l’attente qu’une force protectrice ou positive en émane, lui conférant ainsi le rôle de porte-bonheur ou d’amulette. C’est la raison pour laquelle certaines thangkas ne montrent que des symboles de bonheur, des configurations astrologiques ou des
plantes médicinales.

Les bols chantant :

 

Ils se rattachent à la culture pré-bouddhiste animiste chamaniste Bön de l’Himalaya d’où leur nom, souvent employé, de  » bols tibétains « .

L’origine de ces bols remonterait à l’âge du bronze. Venus d’extrême orient, via la Mongolie, ils auraient été introduits au Tibet par des forgerons nomades adeptes du Chamanisme. Ils sont fabriqués actuellement au Népal, en Inde, au Bhutan et au Tibet.
Les bols chantants sont normalement constitués d’un alliage de sept métaux représentant 7 planètes du Système Solaire : l’or (le Soleil), l’argent (la Lune), le mercure (Mercure), le cuivre (Venus), le fer (Mars),

l’étain (Jupiter), le plomb (Saturne). La légende dit que le fer employé aurait une origine céleste et viendrait de météorites ramassées dans I’Himalaya.

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